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Verratti, Aimé Jacquet, Maradona vs PSG… Découvrez la nouvelle collection de photos So Foot du printemps
En collaboration avec l’agence photographique Icon Sport, So Foot vous propose, chaque mois, une sélection renouvelée de photographies exclusives de football en édition ultra limitée, onze tirages par taille, sur la boutique maison boutique.so.

#1 – La joie de Marco Verratti avec Paris, 2014
Phase de groupes de la Ligue des champions. Paris affronte le grand FC Barcelone. L’ambiance est électrique. Paris montre les crocs. À la 26e minute, sur un corner frappé par Motta, David Luiz dévie le ballon. Marco Verratti, oublié au second poteau, surgit de nulle part. Il devance Ter Stegen et catapulte le ballon de la tête dans les filets. Sur la photo, on voit le « petit hibou » courir vers les tribunes les bras grands ouverts, le visage rempli de joie et d’adrénaline. Forcément, il inscrit ici un de ses rares buts avec le PSG (11 en 11 années au club). Sûrement le plus important car en Coupe d’Europe. Et contre le grand Barça. Mais surtout son seul et unique but de… la tête. Lui le petit milieu de terrain d’1,65m. Ce soir-là, Paris s’imposera 3-2, dans un match devenu légendaire pour les supporters du club de la capitale.
#2 – Diego Maradona face à Paris, 1982
Paris – FC Barcelone. Décidément. Le 13 novembre 1982. Paris perd ce jour-là, 4 buts à 1. Qu’importe, il s’agit d’un amical. Et pas n’importe lequel puisqu’en face se présente ce jour-là rien de moins que Diego Armando Maradona. Joueur devenu icône. Au duel avec… Pascal Zaremba, ancien libéro et milieu défensif passé notamment par Valenciennes, Nantes, Le Havre ou l’AS Nancy Lorraine. Un joueur classé 858e de notre Top 1000 des meilleurs joueurs de l’histoire du championnat de France, tout de même. Vous en connaissez beaucoup, vous, des joueurs qui peuvent prétendre avoir joué contre Diego ?
#3 – Des enfants jouent à Prague, 1966
Un terrain vague à la sortie de l’hiver. À Prague. Une bande de gamins qui rejouent la Coupe du monde. Le sol est boueux, les poteaux de but sont faits de briques, de bancs, de pulls… Assis sur un banc de fortune, bonnets vissés sur la tête, trois enfants observent le match. Peut-être attendent-ils leur tour. Peut-être rejouent-ils l’action dans leur tête. Un ballon trop lourd, des habits trop grands, un froid de canard. Peut-être sont-ce des petites filles admiratives. Ou juste amères de ne pas être autorisées à jouer. Le cliché transpire en tout cas l’enfance, brute, libre, insouciante. À cet instant, peu importe que le Rideau de fer soit encore bien en place. Sur ce terrain, tout est possible. Même marquer le but de la victoire.
#4 – Aimé Jacquet prépare son entraînement, 1981
En 1981, Aimé Jacquet n’est pas encore l’entraîneur à succès de l’équipe de France. Celui à jamais le premier. Non, en 1981, « Mémé » est à la tête des Girondins de Bordeaux. Il pose les bases d’une équipe qui dominera le football français avec trois titres de champion de France. En 1984. En 1985. Et en 1987. Une équipe rigoureuse, organisée, collective. Sur cette photo, il ne dirige pas. Il installe. Il prépare. Ou plutôt il pose au centre du Haillan avec son matériel d’entraînement. Plutôt rudimentaire avec nos yeux de 2025. Une corde. Des plots de chantier. Des bâtons. Et un programme d’entraînement bien clair dans la tête. Le football, pour Jacquet, c’est du travail, de la méthode, de l’humilité. Et cette image résume assez bien la chose.
Les coffrets maillots :
Avant de vous laisser, présentation de 4 des meilleurs coffrets maillots réplica de notre boutique.so .
On commence avec la réplique du maillot de Platoche, aka « il Francese ». En rejoignant la Juve à l’été 1982, Michel Platini ne le sait pas encore, mais il va rendre le nouveau maillot bianconero – floqué du sponsor Ariston – mythique à tout jamais. Portée entre 1982 et 1989, cette tunique est éternellement associée à la gargantuesque saison 1984-1985 du n°10 français : une C1 remportée face à Liverpool, un troisième Ballon d’or consécutif et un troisième titre de Meilleur buteur de Serie A.
Je veux le mien (avec un So Foot offert)
Même pays. L’Italie. Même championnat. Le Calcio. Ville différente. Rome. Mais joueur tout aussi mythique à l’avoir porté : Francesco Totti, lors de la saison 1998-1999. Sous la direction de l’entraîneur Zdeněk Zeman, l’équipe romaine était reconnue pour son style offensif et audacieux, et comptait pour ce faire sur des joueurs comme Aldair, Vincenzo Montella, Delvecchio et Cafu. On le propose avec notre magazine sur les années 1990.
La main de Dieu ? Le but du siècle face aux Anglais ? C’est avec ce maillot que Diego Armando Maradona propulse lors du quart de finale son pays, l’Argentine, sur la route du titre mondial. Celui-ci n’est qu’une réplique, cela s’entend, mais il n’en reste pas moins tout aussi iconique avec son bleu azur. Avec, nous vous offrons un numéro So Foot mystère de la collection de la rédaction (remontant jusqu’à 2010).
Je veux mon maillot (avec un So Foot offert)
Dernière pépite de la collection, le maillot Hechter du PSG. En 1973, le dirigeant se balade dans la rue quand il tombe sur une Ford Mustang. Et là, ça fait tilt. Il transpose la bande centrale du capot sur le maillot qu’il dessine pour Paris. Bingo ! Deux ans plus tard, un magazine italien élit la tunique parisienne plus belle d’Europe. Et sur le terrain, elle commence à donner des ailes aux joueurs. Saison 1980-1981, après avoir arboré un col V, le maillot présente un col pelle à tarte blanc. C’est le maillot de Dahleb, Rocheteau et du tout jeune Luis Fernandez. Celui qui pose les bases d’un Paris vainqueur. De coupe, puis du championnat. Le cadeau à faire à tous les supporters de Paris débarqués après l’arrivée de QSI. D’autant que la tunique années 1980 est accompagnée d’1 magazine So Foot collector de l’histoire récente de Paris.
Je veux mon coffret (maillot domicile ou extérieur)
Le Bayern et Kompany, mariage réussiPar Maxime MARCHON